lundi 18 janvier 2016

Mad Men saison 7



2014

Mad Men : Saison 7
14 épisodes



Vu en dvd

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Voilà, c'est fini. Fini? Ah, pas tout à fait en ce qui me concerne, je vais revoir cette série, sûr! Dans mon panthéon sériel, elle demeure au moins dans le top 3. Sa richesse, sa profondeur n'ont finalement jamais été démenties.
Les fins de série me font toujours un peu peur. Cette saison 7 a été à l'image des précédentes : d'une rare excellence ! Il y a encore quelques épisodes extraordinaires, des séquences incroyables où l'écriture scénaristique est magnifiée par le jeu fouillé des comédiens. J'ai déjà dit tout le bien que je pensais d'eux de façon précise ; je ne vais pas le répéter. Définitivement, cette série est entrée dans l'histoire du format.

Très agréable de suivre cette fin de vie, ni paisible, ni chaotique, tout en nuances et équilibres. On suit la trajectoire des personnages jusqu'à pouvoir en imaginer la suite dans une saison suivante potentielle. Je remarque à ce propos que souvent à la fin des saisons précédentes, on aurait pu laisser là les personnages et considérer la série comme bien terminée, avec des petites ouvertures laissées à l'imagination du spectateur. Comme si chaque saison constituait un instant de vie, une tranche d'un gros gâteau. Gourmands, les téléspectateurs avaient tout de même envie d'y retourner. Cela ne se dément pas ici non plus. Même si on peut se satisfaire des conclusions auxquelles se livre chaque histoire personnelle, pour chaque personnage on ne peut s'empêcher de regretter la fin.
La saison 7 fait pourtant de beaux adieux, toujours bien écrits. Certains sont heureux, d'autres moins. Comme la vie, la vraie, cette série ne fait toujours pas dans l'éclat du spectaculaire, ni dans l'ordinaire. La saison 7 a livré son lot de surprises, de virages.
Surtout, sa césure au beau milieu de a été génératrice d'ellipses majeures. Et comme toujours, les auteurs parviennent à retomber sur leurs pattes, avec une grâce, une finesse d'écriture qui ne cesseront jamais de m'épater. Quelle écriture ! Quelle netteté, quelle richesse chez les personnages, dans les dialogues, dans la mise en scène, dans le déroulement des situations !
Époustouflant d'intelligence, de créativité, d'audace et d'adresse pour articuler tout cela en une unité tellement cohérente, émotionnellement intense, intellectuellement profond ! Je suis béât d'admiration pour ce miracle que constitue une série aussi puissante, aussi plein de sens, et ce, avec une continuité jamais démentie. À voir, à revoir, à rerevoir.
Trombi:

Trevor Einhorn et Kit Williamson:

Sola Bamis:

Elizabeth Rice:

Jessy Schram:

Dan Byrd:

Johnathan McClain:

Mark Pinter:

Alexandra Ella:

Jacob Guenther:

David James Elliott:

H. Richard Greene:

Juliette Angelo:

Stephanie Drake:

Kiva Jump:

Gabriella Weltman?

Anne Dudek:

Pat Skipper:

Kandis Fay:

Beth Hall:

Kirstin Ford:

Pamela Shaddock:

Brandi Burkhardt:

Talia Balsam:

Derek Ray:

Josh McDermitt:

Robert Baker:

Stephen Sullivan:

Michelle Lombardo:

Caity Lotz:

Jenny Wade:

Keith Sellon-Wright et Heidi Fecht:

Alison Brie:

James Wolk:

Christine Estabrook;

Mary Grill?

Matthew Glave:

Kellie Martin;

Charlie DePew;

Maggie Siff:

Brian MarkinsonJon HammElizabeth Reaser et Linda Cardellini:

Ray Wise et Dale Waddington:

Larisa Oleynik:

Joshua LeBar et Greg Cromer:

Paul Johansson:

Devon Gummersall;

Rainey Qualley:

Maliabeth Johnson:

Stevie Nelson et Carmela Corbett:

Julia Ormond:

Mimi Rogers:

Erica Piccininni:

Kim Bubbs:

Bruce Greenwood:

Marten Holden Weiner et Hannah Leigh:

Rachel Cannon:

Amy Ferguson:

William R. Moses:

Nikki Deloach:

Anthony Starke:

Sarah Jane Morris:

Mackenzie Astin:

Jama Williamson et Jennifer Hasty:

Chris Ellis:

Meagen Fay:

Mark Moses:

Carter Jenkins:

Larry Cedar (left gauche) :

Max Gail:

David Denman:

Katie Walder:

Carey Scott:

Currie Graham:

Rich Hutchman:

Fiona Gubelmann:

Spencer Treat Clark et Brian Durkin? :

Anna Osceola:

Brett Gelman:

Jeffrey Vincent Parise et Evan Arnold:

Helen Slater:

Francesca Ferrara:

Joey Honsa:

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